Le blog de Gérard

Aujourd'hui, je ne vous parlerai pas de Nénesse, ce nabot complexé qui nous entraine vers un avenir où ... tout est possible, hélas! Non, je voudrais prendre un peu de recul avant de lui souffler dans les bronches. Je vous présente un poème de Rimbaud,...

Pensif, Helmutt Jodler considérait son œuvre d’un air dubitatif. Il n’était pas technicien, ne possédait aucun diplôme scientifique, c’était juste un bricoleur acharné et passionné qui passait ses dimanches à construire des jouets cocasses, ou des instruments...

Je vous ai déjà parlé de mon aversion pour la pub à la télé. Non seulement elle nous coûte très cher (le prix pharaonique des passages aux heures de grande écoute est bien sûr répercuté sur les prix de vente de ce qui nous est proposé) mais encore elle...

Une amie m'envoie un petit texte, trouvé sur la toile, que je m'empresse de vous retranscrire ici . Sous un aspect cocasse, cette histoire rappelle George Orwell et son "1984", et ça fait froid dans le dos! UNE COMMANDE DE PIZZA - Standardiste : « Speed-Pizza,...

Voici un ti poème, écrit pour ma belle-soeur : M ême si le temps passe I l faut y croire toujours, C ar il est notre ami, H aut, vrai, sincère E t berçant nos chagrins L ongtemps contenus… I l les adoucit parfois, N ous faisant oublier E t ne penser qu’à...

N’ayant pas vu le match, vendredi soir, je me branche sur eurosport le samedi matin. Déception ! Le match à peine commencé, c’est la pub ! d’abord les sponsors, puis une grosse tranche de pub, puis à nouveau les sponsors (c’est dingue : à quand quelques...

Nénesse est révolté par l’injustice. Ces scandaleux privilèges font vraiment trop de jaloux, je veux parler des fameux régimes spéciaux, ceux des gendarmes et des militaires, qui partent à la retraite après 15 ans de « boulot », ont des emplois réservés...

La nuit s’éteint, le jour se lève sous mes pas tristes s’enfuit le rêve grisonnant de haillons la terre fume et mes gestes ivres secouent l’habitude mon sourire de vieillard étouffe la lumière des songes l’herbe jaunie montre du doigt le sol stérile des...

Elle lui jeta au visage une belle phrase comme un verre sans défaut – et qui vint se briser à ses pieds en mille mots incompréhensibles et cependant tranchants. Marc Delouze (souvenirs de la maison des mots) Depuis un temps incommensurable, le Volg jonglait....

Aujourd'hui, un joli poème de Paul Eluard, "départ", publié dans Alcools. Je précise à cette occasion que tous les textes et poèmes non signés sont de moi évidemment. Si cela va sans dire, cela va bien mieux en le disant! Après Eluard, ce sera ma pomme...